Prologue
Grimlokt, l'orphelin.
Né de parents respectés, moi Grimlokt l'orphelin, fils de Crimtoll' jinràa, naquis il y a maintenant 29 ans. J'ai grandi avec eux caché pendant de longues saisons, acculés par l’alliance qui ne cherchait qu’à éradiquer notre espèce par un génocide sans fondements. Nous nous nourrissions de notre chasse et nous débrouillons par nous-même. Il y a 5 ans, avec l’arrivée de la Légion et du Fléau, et avec l’exile de Thrall en Kalimdor, nous eûmes écho de cette menace et du mouvement de Thrall. Nous décidâmes alors de le rejoindre et quittâmes de ce fait la vallée de Stranglethorn.
Mais notre chemin croisa celui de la Légion et mes parents furent massacrés par celui qui autrefois était le Prince Arthas menant le Fleau par de là les contrées et pleines d’Azeroth. Depuis, foulant sans but le sol déseché de la vallée des épreuves de Durotar. Le chef du village, m'appris qu'il avait connu mon père, c’était un prêtre de bon ordre aux services de Thrall. choses que j’ ignorais. Me souvenant d'un parchemin que mon père m’avait remis, j'en brisa le sceau de cire et en lue la seule ligne : "Aime l'autre et la nature, ils te le rendrons bien". A cette phrase que je ne compris que plus tard, je mis en pratique cela. Il ne faut pas se laisser envahir par la haine et la colère, donne une chance à ton égal et laisse partir ton ennemie qu'avec une blessure dont il pourra se soigner. Dans un premier temps, je voulais à tout prix venger mes parents, mais la voie de la raison a ses mystère que l'on ne peut contredire. Je veux juste être utile sur cette Terre où la Horde à élue demeure, afin d'éviter à d'autres subisse le même sort que mon père et que d'autres créatures ont subi, en défendant Kalimdor de l’envahisseur. Et peut être avoir enfin un "famille".
Il y a 3 lunes de ça, amené à Orgrimmar par une quête sans but réelle, je fis la rencontre de Eikahe. Impressionné par son armure argentée éticelante et son élégance, je restais là, sans dire un mot et le regardant des cornes aux sabots…
J'imagine, qu'il avait remarqué que je l'observais, puisqu’il ne se fit pas attendre pour engager une conversation, qui ma foie, fut très interessante. Nous parlâmes de tous et de rien, jusqu'au moment où je lui demanda de quelle guilde était-il. De là, il m'expliqua le but et les préceptes de SOMPTUA auxquels j'adères à 200%. Il me conseilla de venir vous voir au camps pour que je me fasses une opinion. Résultat, me voilà pour vous convaincre de m’accepter parmi vous.
J'aspire à la paix de soi et de l'autre, respecte la nature et les éléments. La défense de notre Terre est primordiale pour le bien de tous et pour l’équilibre de la nature. La paix est ma foie et mon bouclier face aux danger qu’est le combat de la Liberté de nos Frères contre les Légions Ardentes et leur Fléau.
Je reste à l'écoute de la brise et observe les cieux en direction de la lune pour entendre si mon destin est lié au votre.
Que la nature vous accompagne, Grimlokt.
N’étant pas entré dans la hutte où se tenait un conseil, Grimlokt s’éloigna de cette dernière et alla s’asseoir plus loin sur une colline dans l’intention de se restaurer un peu. Une fois sur place, il s’aperçut qu’il n’avait plus de quoi se faire un bon feu pour se réchauffer et se préparer à manger. Qu’à cella ne tienne, il mangea la viande de Plainstrider crue.
Une fois restauré, il contempla la lune dans l’attente qu’une âme charitable de la guilde vienne l’inviter à se réchauffer à l’intérieur, la nuit se faisant de plus en plus présente et le froid commencerait à engourdir ses jambes… Peu de temps après, il entendit un bruit de métal provenant de la forge non loin de la hutte. Un orc robuste s’affairait sur une barre de métal rougeoyante de chaleur sur l’enclume. « mais que fabrique-t-il ? » se demanda Grimlokt, « il est sûrement en train de retaper un épée ou une armure, enfin, peu importe, je suis là et lui il est bien au chaud devant son foyer… ». Soupirant et las d’attendre, il s’empara de sa hache et l’examina d’un œil aguerri, car lui aussi est forgeron. Après avoir inspecter sa vieille hache émoussée, il la reposa et s’installa pour somnoler… Mais Grimlokt ne trouva pas le sommeil, il se demandait s’il avait bien agi, s’il sera accepté dans la guilde qu’il lui convient, les somptueux sont-il des êtres charitables ?, s’il aura enfin l’occasion de rencontrer à nouveau Ocaren et Eikahe si brièvement rencontré il y a peu. Enfin, toujours est-il que Grimlokt est déterminé à faire de la paix son chemin de croix avec ou sans les somptueux, mais s’il s’avère que si les somptueux le repousse, il sait bien que seul, il aura du mal à rester sur le droit chemin très longtemps, son passé finira par resurgir tôt ou tard…
Tout à coup, le bruit de l’orc forgeron ne se fit plus entendre. « il se passe quelque chose !! » pensa-t-il. Le conseil qui se tenait venait de finir. Ocaren et Eikahe sortirent de la hutte, suivis par d’autres membre. Grimlokt se leva et attendit que l’un d’eux l’aperçoive…
Les somptueux s'étaient dirigés calmement vers la forge, voir pourquoi Rob avait arrêté de forger. Quelle surprise ce fut (-ironieee-) de voir l'orc à moitié assommé, entouré de choppes de bière qu'il avait du chipper.
- Bougre d'orc, rugit Ocaren, tu nous a fait peur! Grmbl...
En rentrant à la maisonette, sorte de grande tente qui avait été montée pour passer la nuit, il apperçut une ombre. Le tauren saisit son gourdin et demanda à l'esprit du Vent de l'aider à rendre ses coups plus puissants. Il eut à peine le temps de murmurer sa requête que déjà Zaratan, fort de son expérience en camouflage, avait attrapé l'intrus : un troll, appremment fatigué.
Zaratan l'accompagna alors "amicalement" jusqu'aux somptueux.
- Que fais tu ici ? fit Ocaren. Tu es en piteux état.
Zaratan l’aida à s’asseoir sur un tronc couché non loin des somptueux. Tandis qu’il reprenait ses forces, Grimlokt leva la tête vers le Tauren…
« Je suis venu en paix voir le sage de tous les sages que le nomme Ocaren, par de-là les pleines poussiéreuses de Kalimdor sous les conseils d’Eikahe. Je recherche la voie de la paix de notre Terre-Mère, je suis… » À peine avait-il finit sa phrase que le Tauren l’aida à se relever et l’invita à venir s’asseoir dans la maisonnette où un bon feu le réchaufferait.
Ocaren : « reprends ton souffle et réchauffe toi un peu ami de la paix, et continue ton histoire. »
Grimlokt : « je suis Grimlokt l’orphelin, fils de Crimtoll' jinràa, prêtre respecté aux services de Thrall. Peut-être, jadis avez-vous déjà fait sa connaissance ? Quoi qu’il en soit, je cherche à faire maintenir la paix sur nos Terres en la défendant par tous les moyens mis en ma possession. Je suis heureux de vous avoir trouver en ses jours sombres, le Fléau recommence à se répandre à nouveau sur Kalimdor par la corruption de bêtes qui protégeaient l’équilibre de la nature, et seul, je ne puis faire quoique soit de concret sur du long terme. J’implore votre clémence et vous prie de bien vouloir accepter un Troll aimant et respectant notre Terre-Mère dans votre guilde. À la mort de mes parents, je fis cermant de préserver la paix. Et si par mes actes ou ma mort, je peux y contribuer, je ferais ! »
Éprouvé de son périple, Grimlokt s’effondra de fatigue, Ocaren alla chercher un bol contenant un breuvage, afin que le Troll se remette de ses émotions et passe une bonne nuit. Au petit jour, Grimlokt se réveilla sur un lit de paille douillet. Ocaren était près de lui, il était resté à son chevet toute la nuit.
« Bien le bonjour cher Ocaren, je te remercie de tes intentions. » D’un air triste, cherchant des réponses en regardant le sol, Grimlokt raconta le rêve qu’il avait fait cette nuit à Ocaren. « Cette nuit, j’ai fait un rêve. Un rêve triste et à la fois beau, j’ai rêvé que nous étions là, tous les deux, contemplant les collines verdoyantes du Barrens… La paix était revenue, le Fléau éradiquer. Nous étions là, tous les deux mais beaucoup furent mis à bas. Quel drôle de rêve, ce breuvage m’aurait-il ouvert les yeux sur un futur certain, ou est-ce un rêve hallucinatoire et prémonitoire ? La paix est mienne et son chemin est long et difficile, comment pourrais-je savoir si je suis sur la bonne voie ?. » Grimlokt releva les yeux vers le Tauren compatissant et attendit une réponse.
"La Voie de la paix n'est pas bonne ou mauvaise. C'est la seule envisageable afin d'éviter souffrances, destructions... Il est difficile de dire ce que signifie ce rêve; peut-être le connaitrons nous mais je ne peux en être sûr... on m'aura surement assassiné bien avant cela."
Ocaren se leva et sourit.
"Le breuvage était le meilleur pour toutes sortes de choses, c'était de l'eau, pure."
Puis, il détourna la tête et fit:
"Tu es soigné et revigoré, ainsi grâce à l'esprit de l'Eau; va te présenter aux autres…"
Ce que je fit. Et depuis je suis avec eux et j'en suis fier !!!
De nos jours
Ce rêve que j'avais fait et les réponses d'Ocaren se révélèrent exacts, depuis un moment maintenant notre chef Ocaren a été assassiné, comme il l'avais prédis. Se fût un choc pour nous tous, certes, mais la vie ne doit pas s'arrêter là, nous sommes tous encore saints et sauf makgré les raids successifs de l'alliance dans nos terres.
Ocaren est mort et somptua meurt également à petit feu, les survivants de notre guilde demeurent, et les évènements passé nous oblige à revoir notre organisation. Somptua est mort, vive somptua !!!
Place aux Derniers Gardiens
Serviteur et bouclier de la paix, Grim' (HRP: aux cas ou le nom de la guilde venait à changer je rééditerais ce post avec le nom définitif)[/u]